Mesdames, Messieurs, chers amis
Après une année à la tête du Comité Interrégional, il n’est certes pas encore temps de tirer un réel bilan de notre action, mais, d’ores et déjà toutefois, il n’est pas prématuré de remercier vivement l’équipe qui m’entoure tant pour son enthousiasme, son dynamisme, ses compétences et son sérieux que pour sa bonne humeur et sa convivialité.
Dès lors, si cette année fut essentiellement placée sous le signe de la restructuration avec toute la rigueur que cela implique, elle n’en demeura, en ce qui me concerne, pas moins ludique.
En tout état de cause, la volonté sans réserve et le plaisir de travailler ensemble nous auront permis, conformément à nos engagements, la mise en œuvre d’une politique promotionnelle de nos activités au travers d’actions de communication dont les effets, escomptés davantage à moyen terme, ne se sont pas laissés attendre puisque nombre de partenaires privés soutiennent désormais nos actions.
Au-delà, force est de constater que la répartition bipolaire de notre équipe, pour laquelle nous avions optée afin d’assurer une représentation optimale du comité auprès de l’ensemble des institutions de ses deux régions administratives, s’avère un choix judicieux au regard de l’augmentation conséquente des subventions qui nous furent accordées.
Toutefois il ne faut pas céder à la satisfaction d’un devoir accompli tant la tâche qui nous attend n’aura de cesse que de s’accroître en difficultés et nous nous devons notamment d’être capables d’une adaptation très rapide aux nouvelles exigences d’une politique budgétaire toujours plus restrictive.
Dans ce contexte, l’isolement est à proscrire et seules la cohésion et la concertation me paraissent gage de succès. Tout ou presque reste à imaginer et à mettre en œuvre ici afin que nul ne se sente délaissé et que l’ensemble des organismes déconcentrés au sein du Comité Interrégional forme désormais une véritable unité.
L’équipe qui m’entoure a démontré, s’il en était besoin, lors de cette première année d’administration toutes ses aptitudes à remporter un tel pari et, d’ailleurs, si avec Alphonse Karr on pense que « l’on n’invente qu’avec le souvenir », je voudrais ne pas oublier cette année 2005.
Pierre DUNAC